La criminalité et les faits divers tragiques se concentrent souvent sur les cités des grandes villes et les quartiers dits « défavorisés ». Ces grands ensembles des années 70 n’existent pas à Bandol et il n’est pas question de construire ce type de logements.
Au contraire, les logements sociaux sont répartis sur l’ensemble du territoire de la commune.
400 Bandolais (qui ont un logement à Bandol) sont demandeurs d’un logement social. Depuis des années, 80% des attributions de logement sociaux profitent à des Bandolais. Les 20% restants sont des résidents des communes environnantes ou du département. Il n’y a donc pas de « vague » de nouveaux arrivants, sachant que la population bandolaise est stable.
Nos professeurs des écoles, nos infirmiers, nos employés de commerce, nos caissiers, nos familles mono parentales, nos aînés aux ressources modestes, nos étudiants, nos prestataires etc. ont besoin de logements sociaux pour vivre dignement dans une région où le coût des biens immobiliers exclut une partie de la population.
Le raccourci parfois fait entre logements sociaux et insécurité est donc inopérant, et même assez vexant pour les habitants de ces logements qui participent comme les autres à la vie et à la prospérité de la commune.